Le renouveau – juillet 90 : « Traditionnellement refermé sur lui-même, le port de Maharès d’ouvre à la création grâce à son festival.
Dans cette cité ou l’année s’égrène en vase clos, les portes s’ouvrent le temps du festival … A Maharès, il faut s’attendre à des surprises, car chaque artiste apporte sa note originale … A Maharès, on vient chercher la puissance de l’œuvre créatrice qui ne s’embarrasse ni de frontières, ni des nationalités. Personne ne vient à Maharès pour donner des leçons. L’art est ici symbole de modestie. Grâce à l’impulsion de Youssef Rekik, le festival de Maharès a permis la naissance de la passion artistique au cœur même de la ville.